Bienvenue au 27ème de ligne !

Objectif

l'objectif de cette section est de rendre hommage aux personnes du 27eme de ligne ancien régiment du lyonnais a partir de 1779 à 1815

S'inscrire

si vous voulez vous inscrire a cette section nous vous conseillons d’être passionné, d’être patient, en effet l'uniforme est très onéreux, le prix de votre uniforme ne sera malheureusement  pas pris en charge par l'association mais nous vous aiderons et conseillerons dans la création de votre costume.

Note : veuillez remplir les champs marqués d'un *.

Histoire et uniformologie du régiment

LYONNAIS

COLONELS ET MESTRES DE CAMP

1.- BOUZOLS (Anne-Joachim de MONTAIGUT, marquis de), 26 avril 1775

2.- TILLIÈRES (Alexis-Paul-Michel LE VENEUR, vicomte de), 24 avril 1782

3.- MONTESQUIOU-FEZENZAC (Philippe-André-François, chevalier de), 10 mars 1788

4.- ALLONS (Jean-Baptiste CHAUVET d’), 5 février 1792

5.- GIOACOMONI (Gaspard-Vincent-Félix), 22 juillet 1792

6.- ROSSI (Hyacinthe-Etienne-Antoine-Claude-Alexandre de), 29 juillet 1792

7.- DUMORTIER (Constantin-Joseph), 23 novembre 1792

 

Histoire

Le nouveau régiment de Lyonnais, formé des 1er et 3e bataillons de l’ancien, prit d’abord le n° 17 ; il recula au 28e rang en 1776 et devint le 27e à la fin de 1790. Il avait conservé les vieux drapeaux du corps et sa tenue fut distinguée par les revers et les parements écarlates avec le collet bleu céleste. Il quitta Calais au mois d’août 1775 pour se rendre à Lille puis à Strasbourg en octobre. Il fut envoyé à Saint-Hippolyte et Béziers en octobre 1777 et à Toulon en décembre 1778. Il fournit des garnisons aux vaisseaux armés dans ce port pour la guerre d’Amérique. L’un de ces détachements, monté sur la frégate Montréal, prit part au beau combat soutenu le 31 juillet 1780 par cette frégate sur la côte d’Afrique, entre le cap Caxine et Torre-Chica, contre 2 frégates et 2 bricks anglais. En 1780, l’Espagne entreprit de reconquérir sur les Anglais l’île de Minorque. La France lui envoya d’abord un général, le duc de CRILLON, qui débarqua le 9 août dans l’île et investit aussitôt le fort Saint-Philippe de Mahon. Mais bientôt les Espagnols reconnurent eux-mêmes leur impuissance pour une pareille opération et ils attendirent pour commencer le siège l’arrivée des régiments d’infanterie de Lyonnais, de Bretagne, de Bouillon et Royal-Suédois, accompagnés d’un détachement du régiment d’artillerie de Strasbourg. Ces troupes, embarquées à Toulon le 18 octobre 1781, arrivèrent dans l’île sous le commandement du lieutenant général baron de FALKENHEIM. Les travaux furent poussés avec vigueur et le 6 janvier 1782, 150 bouches à feu, démasquées à la fois, battirent la place sans interruption pendant 29 jours. Le général anglais MURRAY capitula enfin le 4 février. Le brillant succès que le duc de CRILLON venait d’obtenir détermina la cour d’Espagne à lui confier la direction du siège de Gibraltar dont l’investissement était commencé depuis plus de 18 mois. Les troupes françaises qui avaient servi devant Mahon suivirent leur général et montrèrent devant Gibraltar une grande et inutile intrépidité. La ville n’était attaquable que par mer. L’ingénieur d’ARCON inventa pour la foudroyer des batteries flottantes dont on se promettait un grand succès. Le 13 septembre, elles furent prêtes. Des troupes furent embarquées sur ces masses de bois qui vinrent s’embosser en face de Gibraltar : mais les Anglais ouvrirent sur elles un épouvantable feu de boulets rouges qui les incendia. Dans cette journée, Lyonnais eut le lieutenant de GATTINES et 27 hommes hors de combat. L’insuccès des batteries flottantes fit prendre la détermination de lever le siège, mais le blocus continua du côté de la terre et Lyonnais demeura au camp de Saint-Roch jusqu’à la paix.

 

10

 

Le régiment, rentré en France en 1783, fut d’abord mis en garnison à Perpignan. En octobre 1785, il se rendit à Alais et de là à Toulon en octobre 1787. Au commencement de 1788, il fut partagé entre Aix et Marseille. Le 1er bataillon, qui était à Aix, sut si bien se concilier l’estime des habitants de cette ville que ceux-ci, en novembre 1789, ayant appris qu’on voulait envoyer le bataillon à Marseille, adressèrent une pétition au ministre de la guerre pour le conjurer de le leur laisser. Il demeura à Aix et continua, malgré quelques désordres arrivés en avril l790, de mériter la confiance des bons citoyens. Il montra une grande fermeté le 2 août en assurant l’exécution de l’assassin du président d’ALBERTAS, qu’un parti voulait délivrer ; après de nouveaux troubles qui agitèrent la ville d’Aix du 12 au 17 décembre, le 1er bataillon partit pour Tarascon où le régiment se trouva réuni en janvier 1791. Il fut de là à Nîmes en mars. En février 1792, les prêtres non assermentés du département de la Lozère parvinrent à faire éclater à Mende les troubles les plus dangereux. On y envoya 3 compagnies du 27e ; ce détachement, trop faible pour se faire respecter, après avoir été insulté et maltraité par les enragés des deux factions, fut obligé de se replier. Renforcé au mois de mars, il parvint à rétablir à Mende le règne, sinon le respect de la loi. Lorsque la guerre fut déclarée, le régiment quitta le Midi et fut dirigé sur l’armée du Rhin. Il arriva le 20 juillet à Colmar où sa belle contenance fut très admirée et continua sa route sur Strasbourg. Après la retraite des Prussiens, le 2e bataillon passa à l’armée des Ardennes et fut placé dans Maubeuge pendant l’invasion de la Belgique. La perte de la bataille de Neerwinden, ayant ramené l’armée du Nord sur la frontière, le 2e bataillon revint sur le Rhin et les 2 bataillons ont toujours servi depuis dans cette région jusqu’à leur embrigadement qui eut lieu que le 1er janvier 1795. Le colonel DUMORTIER, soldat au corps en 1756, portedrapeau en 1775, capitaine en 1791 et lieutenant-colonel en 1792, a été tué au combat de Schaffhausen en Alsace, le 19 novembre 1793. Les 2 bataillons de Lyonnais sont devenus les premiers bataillons des 53e et 54e demibrigades. La 53e, formée le 31 décembre 1794 et attachée à l’armée de Rhin et Moselle, a été fondue le 19 février 1796 dans la 10e nouvelle qui a servi aux armées d’Allemagne, de l’Ouest et d’Italie et s’est distinguée à Rastadt, à Heindenheim, Frésing, Kehl, Savone et Nice. A la paix, elle a occupé Bologne, Modène, Ravenne, Forli, Parme, Bergame. Sous ce titre de 10e régiment, on retrouve ce corps en Italie et à Naples jusqu’en 1810. En 1811, il part pour l’Espagne et fait partie des armées d’Aragon et des Pyrénées. Il a fait la campagne de 1815 au 6e corps, s’est retiré dans les Deux-Sèvres et ses débris sont passés dans la Légion de l’Aude qui a concouru à la formation du 41e régiment d’infanterie actuel. La 54e, qui servait aussi à l’armée de Rhin et Moselle, a été versée, 20 avril 1796, dans la 89e nouvelle, qui, après avoir fait les dernières campagnes du siècle sur le Rhin, sur le Danube et dans l’Ouest, après s’être signalée devant Kehl et à Engen, a envoyé en 1802 ses 2 derniers bataillons à Saint-Domingue. Le 1er bataillon, resté à Bruxelles, a été incorporé en 1804 dans le 86e de ligne.

BATAILLES AUXQUELLES IL A PARTICIPE (de 1793 à 1815)

 

1793 : Weissenburg

1794 : Fleurus et Breda

1799 : MannheimBruchsaiVeisembach et Erbach

1800 : BrandenbourgHohenlindenNeumakt et Lambech

1805 : GuntzbourgElchingenUlm et Scharnitz

1806 : Iéna et Soldau

1807 : WaltersdorfEylauGuttstadt et Friedland

1808 : Tudela

1810 : Cuidad RodrigoCoaAlmeida et Buçaco

1811 : RedhinaFos-de-Arona et Fuentes-d'Oñoro

1813 : Navarre, Col-de-Maya et Saint-Pre

1813 : LutzenDresde et Kulm

1814 : Orthez et Toulouse

1815 : Waterloo

 

 

uniformologie :

partie guerres napoleoniennes

L'état-major


compagnies de fusilier


compagnies de grenadiers


compagnies de voltigeurs

partie ancien régime

Les différents grades

les grades sont par ordre croissant :

en premier lieu le fusilier le soldat de première classe

certains étaient meilleurs au tir et étaient de plus petite taille ( inférieurs ou égale à 1m 60 a peu près). Ils devenaient alors voltigeurs

certains étaient meilleurs au au combats rapprochés et étaient de grandes tailles ( supérieurs  ou égale à 1m 75 a peu près). Ils devenaient alors Grenadiers

ces trois grades formaient a chacun une a plusieurs compagnie dans un bataillon 4 compagnies de fusiliers, 1 de grenadiers et 1 de voltigeurs ces 3 grades formaient le groupe des hommes du rang

ensuite un ou plusieurs soldats de chacune de ces différentes compagnies pouvait être promu caporal

ensuite les caporaux pouvaient être promu en caporal fourrier

ces 2 grades formaient le groupe des caporaux

les caporaux pouvaient aussi être promu sergent

les sergents pouvaient ensuite être promu sergent-major

les sergents-majors pouvaient ensuite etre promu adjudant sous-officier

ces 3 grades formaient le groupe des sous officiers (commandement d'une demie-section)

les adjudants sous-officier pouvaient être ensuite promu sous-lieutenant

les adjudants sous-officier pouvaient être ensuite promu lieutenant

(comandement d'une section)

les lieutenants  pouvaient être promu adjudants-major

les adjudants-major pouvaient être promu capitaine adjudants-major

les capitaines adjudants-major pouvaient être promu capitaine 

un clin d’œil à notre a notre ami Vincent MACHET capitaine dans l’armée de terre 

(commandement d'une compagnie)

ces 5 grades formaient le groupe des officiers subalternes

un capitaine d'une compagnie pouvait devenir chef de bataillon

(commandement d'un bataillon)

chaque régiment étaient constitué de 3 à 8 bataillon

2 chef de bataillons pouvaient être promu colonel et colonel en second...

... 2 encore pouvaient être promu major et major en second

(commandement d'un régiment)

ces 3 derniers grades formaient le groupe des officiers superieurs

en résumer

les membres et leur grades

vallin antoine alias le bayerisch                        sergent major d'une compagnie de ? 

Theo percheron                             grenadier

Florian Sureau                            Tambour

calendrier

quand? où? Evènement
 RIEN POUR LE MOMENT    

Partie Vidéo

-marche du régiment-